Sécurité anti-chute des toits : SIGA reste solide
L'Association de l'Enveloppe des édifices Suisse et des représentants de l'industrie ont examiné différentes structures de toits pour leur sécurité contre les chutes. Toutes les constructions testées se sont révélées être sécurisées contre les chutes, l'utilisation de membranes SIGA étant déterminante à cet égard.
La nouvelle ordonnance sur les travaux de construction (2022)
Avec la publication de l’ordonnance sur les travaux de construction par la Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA) en 2022, la sécurité anti-chute des projets de construction devient de plus en plus importante pour les entreprises artisanales suisses et les responsables de la construction. Cela concerne particulièrement des structures telles que les planchers intermédiaires, les toits pentus, les toits plats et les composants qui les constituent.
La nouvelle règle est la suivante : si la hauteur de chute dépasse deux mètres et que la structure n'est pas suffisamment résistante aux ruptures, l'utilisation de mesures de protection efficaces est obligatoire. Ces mesures de sécurité peuvent être assurées par l'installation d'échafaudages ou de filets de sécurité en dessous de la surface du toit ou par l'utilisation d'un système d'ancrage. Pour cela, les employés doivent avoir suivi la formation correspondante, les travaux ne doivent pas durer plus de deux journées de travail et la hauteur de chute ne doit pas dépasser 3 mètres.
À partir de quel moment considère-t-on qu'une surface de toit est suffisamment résistante aux ruptures ?
Pour les entreprises de construction, évaluer à partir de quand une surface de construction peut être considérée comme résistante aux percées et donc ne pas nécessiter de mesures de protection internes est souvent un défi. En principe, une surface de construction est considérée comme résistante aux percées dès qu'une couche intégrée répond aux exigences en matière de résistance aux percées conformément au GS-Bau-18 (05.2020).
"En règle générale, les toitures résistent durablement à la rupture. Lors de la planification et de l’exécution, il convient de sélectionner les matériaux correspondants."
Cependant, les couches telles que les panneaux de fibres de bois souples de 60 mm d'épaisseur, souvent utilisés dans la construction neuve et lors de rénovations en tant que sous-toiture, ne répondent pas toujours aux exigences de résistance aux rupture.
Pour faire face à ce problème, l’Association de l'Enveloppe des Édifices Suisse, en collaboration avec divers représentants de l'industrie, s'est penchée sur la question et a soumis plusieurs constructions à différents stades de construction à un test de résistance aux ruptures, conforme au GS-Bau-18 (05.2020). À cet effet, un toit a été construit par l'Institut p+f expert AG à Sursee, à l'aide duquel les différences en termes de résistance aux chocs et de capacité de charge résiduelle ont pu être confirmées après le test de chute de 1200 J ainsi qu'après une charge supplémentaire de 50 kg et un test d'ouverture (boule de test de Ø 30 cm).
Tests de résistance aux ruptures de SIGA dans diverses structures de rénovation.
Dans le domaine de la rénovation, les variantes suivantes ont été testées :
- Sup/Top avec aménagement intérieur
- SIGA Majrex posé de manière ondulée
- Isolation des parois 140 mm en fibre minérale
- Isolation supérieure avec 60 mm de fibre de bois
ainsi que la rénovation dite alternative avec aménagement intérieur :
- Isolation des parois 140 mm en fibre minérale
- Membrane d'étanchéité à l'air Majcoat 200 (SOB)
- Isolation supérieure avec 60 mm de fibre de bois
- Membrane de sous-toiture Majcoat 200
Pour toutes les structures testées, les résultats ont été positifs et la sécurité anti-chute a été prouvée. La clé de ces résultats positifs était l'utilisation de films SIGA répondant aux normes techniques actuelles.
Votre interlocuteur SIGA se tient à votre disposition pour vous fournir des rapports de test correspondants et de plus amples informations.
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